KOUKA

KOUKA (1981)
Œuvres et biographie

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Petit fils du peintre expressionniste Francis Gruber, fils d’une dramaturge française et d’un artiste Congolais, KOUKA est né à Paris en 1981 et est diplômé de l’Ecole d’Art d’Avignon en 2005.  Il est représenté en France depuis 2010 par la Galerie Taglialatella.   Sa première empreinte urbaine apparaît en 2008 avec la silhouette de guerriers Bantu lors d’un voyage originel à Libreville (Gabon), il prend conscience de l’omniprésence de l’impérialisme occidental établi au sein même des espaces dédiés à la culture en Afrique. Dès lors il décide de revenir aux fondamentaux de cette culture et d’honorer cette Mémoire. L’artiste se met à en peindre des guerriers partout où il voyage : au Congo, en Afrique du Sud, en Belgique, au Maroc, en Grèce, en Russie...  Le guerrier Bantu de Kouka prend alors une nouvelle dimension : il interroge la place de l’individu dans la société et sa recherche se fonde sur l’Essence de l’homme en quête d’identité.   Outre les nombreuses expositions et performances de l’artiste en France ou par le monde depuis 2008, des moments symboliques rythment sa carrière.   En 2010 Kouka peint une armée de 77 guerriers sur la façade du « Château d’Albat’art », rue René Boulanger près de République à Paris. Cette armée de « gardiens de République » devient pour les habitants du quartier un emblème d’art urbain, symbole de protection de la Mémoire et de l’Humanité.   En 2016, l’aventure des gardiens de république continue. Les fenêtres qui avaient été décrochées de la façade du bâtiment de République voyagent jusqu’en Afrique conformément au souhait de l’artiste. Elles seront exposées de façon permanente à la Fondation Montresso à Marrakech.   Lors de la biennale de Dakar, l’une des fenêtres sera symboliquement exposée sur l’île de Gorée.  En 2017, trois des fenêtres se dressent devant le Musée Mohammed VI d’art contemporain de Rabat à l’occasion de l’exposition « Présence Commune » à laquelle Kouka participe dans le cadre de l’événement L’Afrique en Capitale.   En 2018, l’artiste réalise une gigantesque performance à Nanterre, une Vénus s’étend sur une dizaine de mètres dans le cadre de « La Nuit des Idées », en partenariat avec le Musée du Louvre.   En 2022, il est invité à réaliser une fresque sur-mesure pour l’exposition récurrente de La Place : Modules.  La même année, il réalise l’œuvre « Life Matters » sur le projet du Tunnel des Tuileries organisé par Artistik Rezo.   Les silhouettes urbaines de Kouka voyagent à travers le monde : Wynwood (Miami), New York, Rio de Janeiro, Sao Paulo, Choroni, Porto, Tanger, Moroni, Bali, Bangkok, Istanbul, Athènes, Saint-Pétersbourg, Berlin, Amsterdam...   Kouka explore sa quête des Origines, se confronte au regard de son public et se nourrit de ses réactions multiples. Son style particulier dénonce, interroge, amuse parfois, et questionne toujours la condition humaine. Dans une époque où l’espace et le temps deviennent élastiques, l’obsession de KOUKA pour les Origines, la profondeur de son approche et la puissance de son style – notamment par la maîtrise du trait brut - nous guident résolument vers l’Essentiel.

Petit fils du peintre expressionniste Francis Gruber, fils d’une dramaturge française et d’un artiste Congolais, KOUKA est né à Paris en 1981 et est diplômé de l’Ecole d’Art d’Avignon en 2005. 

Il est représenté en France depuis 2010 par la Galerie Taglialatella. 


Sa première empreinte urbaine apparaît en 2008 avec la silhouette de guerriers Bantu lors d’un voyage originel à Libreville (Gabon), il prend conscience de l’omniprésence de l’impérialisme occidental établi au sein même des espaces dédiés à la culture en Afrique. Dès lors il décide de revenir aux fondamentaux de cette culture et d’honorer cette Mémoire. L’artiste se met à en peindre des guerriers partout où il voyage : au Congo, en Afrique du Sud, en Belgique, au Maroc, en Grèce, en Russie...


Le guerrier Bantu de Kouka prend alors une nouvelle dimension : il interroge la place de l’individu dans la société et sa recherche se fonde sur l’Essence de l’homme en quête d’identité. 


Outre les nombreuses expositions et performances de l’artiste en France ou par le monde depuis 2008, des moments symboliques rythment sa carrière. 


En 2010 Kouka peint une armée de 77 guerriers sur la façade du « Château d’Albat’art », rue René Boulanger près de République à Paris. Cette armée de « gardiens de République » devient pour les habitants du quartier un emblème d’art urbain, symbole de protection de la Mémoire et de l’Humanité. 


En 2016, l’aventure des gardiens de république continue. Les fenêtres qui avaient été décrochées de la façade du bâtiment de République voyagent jusqu’en Afrique conformément au souhait de l’artiste. Elles seront exposées de façon permanente à la Fondation Montresso à Marrakech. 


Lors de la biennale de Dakar, l’une des fenêtres sera symboliquement exposée sur l’île de Gorée. 

En 2017, trois des fenêtres se dressent devant le Musée Mohammed VI d’art contemporain de Rabat à l’occasion de l’exposition « Présence Commune » à laquelle Kouka participe dans le cadre de l’événement L’Afrique en Capitale. 


En 2018, l’artiste réalise une gigantesque performance à Nanterre, une Vénus s’étend sur une dizaine de mètres dans le cadre de « La Nuit des Idées », en partenariat avec le Musée du Louvre. 


En 2022, il est invité à réaliser une fresque sur-mesure pour l’exposition récurrente de La Place : Modules. 

La même année, il réalise l’œuvre « Life Matters » sur le projet du Tunnel des Tuileries organisé par Artistik Rezo. 


Les silhouettes urbaines de Kouka voyagent à travers le monde : Wynwood (Miami), New York, Rio de Janeiro, Sao Paulo, Choroni, Porto, Tanger, Moroni, Bali, Bangkok, Istanbul, Athènes, Saint-Pétersbourg, Berlin, Amsterdam... 


Kouka explore sa quête des Origines, se confronte au regard de son public et se nourrit de ses réactions multiples. Son style particulier dénonce, interroge, amuse parfois, et questionne toujours la condition humaine. Dans une époque où l’espace et le temps deviennent élastiques, l’obsession de KOUKA pour les Origines, la profondeur de son approche et la puissance de son style – notamment par la maîtrise du trait brut - nous guident résolument vers l’Essentiel.


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